Licence MCA : découvrez leurs courts-métrages !

Dans le cadre du cours “Réalisation de fiction”,  avec Erika Thomas et João de Oliveira, les étudiants en Licence 1 Métiers de la culture et des arts ont pu réaliser différents courts-métrages.

Découvrez-les en vidéos !

Déjà vu, réalisé par Anne-Flore Blakeway, Jeanne Cauchy, Garance Bouton et Marine Barbey.

Nino, 19 ans, est étudiant en droit à Lille. C’est un élève sérieux et entreprenant. Il se retrouve stagiaire dans un cabinet et il assiste à un procès. L’accusé le reconnaît, c’est une de ses anciennes fréquentations. Il est alors obligé de se confronter à son passé, une vie tourmentée par ses relations, entouré de trafics et de vols. Une vie passée qu’il a oubliée à la suite d’un accident de scooter trois mois auparavant.

64, réalisé par Diane Coulet, Inès Chapalain, Anne-Louise Cantat, Pierre Cayet et Isabella Morales.

 

Un homme passionné des échecs travaille avec acharnement, il consacre sa vie aux échecs et s’enferme dans cet objectif qui devient une bulle. Un jour, il rencontre dans son club d’échec un homme/femme mystérieuse et discrète. Cette femme va provoquer une partie d’échec avec le personnage principal et va le battre à plate couture. Le niveau de la femme est largement supérieur à celui de l’homme, ce qui va le perturber. Ces confrontations vont se renouveler et vont déclencher chez le personnage principal un bouleversement presque psychotique. Cela va entraîner une forte introspection chez lui en parallèle d’une obsession pour la femme. Au cours de sa quête, il reçoit un mail anonyme d’un voyage pré-réservé à la mer. Une photo accompagne le mail déclenche un souvenir heureux de liberté qui est sa première sortie à la plage. Cet homme qui a vécu dans l’ombre toute sa vie va, à la fin, redécouvrir la liberté.

La nuit est longue, réalisé par Noam Bali, Mona Szalkowski, Fanny Joseph et Maëlys Meyniel.

 

Le court métrage prend place à notre époque, dans Lille et sa métropole. Le personnage principal s’appelle Tobias, il a 19 ans et est plutôt renfermé sur lui-même. On ne le voit pratiquement qu’avec une cigarette à la main. Il souffre d’insomnie et d’hypnophobie car il s’empêche de dormir par peur d’un cauchemar récurrent. L’ambiance est sombre, il marche dans ce qui ressemble à une rue floue et sombre. Il voit quelqu’un immobile au loin, la silhouette disparaît et lorsqu’il se retourne, la silhouette est derrière lui, elle se met à le poursuivre. Tobias court et au moment où il sent qu’il se fait rattraper, il se réveille en sursaut. Le même cauchemar se reproduit dès qu’il s’endort.

Pour aller plus loin

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